PSYCHOSOCIOLOGUE
Développer la puissance et les talents individuels et faciliter la coopération entre les personnes au sein d’entreprises ou d’institutions.
Coach et formateur, je me distingue par des méthodes innovantes et participatives qui favorisent la dynamique de groupe et l’intelligence collective. La conjonction de mes compétences permet d’accompagner mes clients vers des solutions pratiques et concrètes.
Les fondamentaux de ma méthode sont basés sur l’approche de l’Institut Charles Rojzman, validée depuis plus de 20 ans dans la gestion de crise et l’accompagnement au changement.
J’interviens en français, italien, allemand, anglais et espagnol.
Mon parcours initial d’enseignant, éducateur, directeur de théâtre, m’a permis d’appréhender et de mieux comprendre l’évolution des besoins sociétaux, comment ils interagissent sur l’exercice des métiers et sur les compétences personnelles à acquérir; les actuels enjeux professionnels en rapport avec les contextes sociopolitiques et institutionnels.
Elles ont permis également d’identifier les possibles confusions de rôles et de postures et de les clarifier dans le cadre des accompagnements collectifs ou individuels; connaître les devoirs et dilemmes éthiques.
Ces différents casquettes professionnelles me permettent d’avoir constamment différentes clés de lecture afin d’adapter au mieux mon accompagnement et aussi de façonner au fil des ans une identité professionnelle hors canevas connus, davantage “tout terrain”, créative et centrée sur mes client·e·s.
Les bases théoriques sont composées de différents courants pédagogiques, notamment les expériences de Jean Piaget. Mais aussi de bases psychologiques (Jung, Freud, Rogers, etc.), d’analyse transactionnelle et de deux enseignants contemporains; Charles Rojzman (thérapie sociale) et André Charbonnier (dépassement des peurs).
La posture d’un intervenant est un élément central. Pour moi elle s’est construite au fil des ans et de la prise de conscience de mon fonctionnement intime en regard du fonctionnement des différents publics rencontrés. Mon parcours professionnel n’a cessé de façonner cette posture d’intervenant ; l’étape plus significative dans cette construction identitaire a été la formation d’intervenant en thérapie sociale qui a permis de théoriser une série d’intuitions préalables lors des mes précédents métiers, enseignant et éducateur. La formation en thérapie sociale a permis d’expérimenter, dans un milieu protégé et sécure, l’ampan des fonctionnements individuels et collectifs ; zones d’ombre, lien au pouvoir, peurs de base, préjugés, masques, confiance, conflits. En d’autres termes, la conscientisation de mes failles et de mes ressources a permis de façonner mon identité et ma légitimité professionnelle. Mon rôle de directeur, m’a permis, en outre, de valider et d’expérimenter positivement cette posture dans le cadre managérial.
L’ensemble de mon parcours permet d’analyser des structures et des situations professionnelles complexes et de proposer à mes clients des solutions simples et concrètes.
La pratique du coaching s’est développée dans le cadre de mes activités à partir de 2014, après une formation continue au Festen Institute. Cette formation m’a donné une série de nouvelles clés utiles à la supervision individuelle, telles que la libération des peurs, le dépassement des blocages internes et externes, le déploiement de l’intelligence émotionnelle, l’acquisition d’une technique d’auto-analyse permettant de différencier peurs réelles et peurs symboliques, l’acquisition de techniques pour se libérer des symboles, pour connecter son intuition et se guider grâce à elle, pour élargir sa zone de confort.
Le travail central consiste à visualiser quelles sont nos zones de puissance (talent) et nos zones d’impuissance (laborieux). Quels sont les déclencheurs qui nous font passer de l’un à l’autre, comment les cerner, comment les maîtriser, comment passer d’un état à l’autre volontairement.
Le coaching requiert une double posture ; suivre les informations de la personne supervisée et retenir ce que ces informations suscitent en terme de sensations, tensions, idées et pistes de travail.
Mes sept années initiales d’enseignement ont fixé une série de réflexes pédagogiques (gestion du temps, du rythme, dynamique de groupe, processus d’assimilation et d’apprentissage, etc) que j’utilise encore dans l’ensemble de mes interventions en groupe. Ces outils m’ont été d’une grande utilité comme directeur d’institution et dans les différentes interactions liées à cette fonction (médiation culturelle, visites, présentations, école de théâtre, liens avec les médias, etc.).
Les outils pédagogiques permettent de repérer les différents niveaux de problèmes que pose une situation professionnelle, mais aussi de repérer les enjeux et les interactions du groupe d’étudiant·e·s et différents niveaux de problèmes que pose le groupe. L’utilisation réflexive en groupe permet d’élaborer des stratégies constructives en partant de la réalité du moment et, ensuite, de les fixer en tant qu’outils pratiques pour des interventions futures.
Apprendre à apprendre est un mode pratique pour former des cadres aux principales notions de gouvernance et leadership. La formation en groupe de pairs permet de vivre et ressentir les différentes possibilités hiérarchiques et d’élaborer le système de gouvernance le plus adéquat aux différents milieux socio-économiques.
La supervision d’équipe nécessite une posture tout à fait spécifique qui s’apparente à une « caisse de résonnance ». Le superviseur ressent l’ensemble des sensations, émotions, tensions, non-dits de l’équipe supervisée. Il doit utiliser ces informations pour donner la direction du processus de travail ; il doit de ce fait être en même temps spontané et attentif. L’écoute flottante permet d’appréhender la complexité des informations et de proposer des voies simples et concrètes. Il est nécessaire par moment de stopper le processus afin de proposer des éclairages théoriques de ce qui se passe dans le processus de groupe.
L’espace protégé créé par le superviseur permet de revisiter en sécurité les modes de faire, les déviances, les dérapages, les violences quotidiennes et de trouver en groupe des nouveaux modes d’interagir.
La supervision d’équipe est un travail de longue haleine qui permet de modifier le programme de fonctionnement par défaut du groupe. Elle permet des va-et-vient, des avancées et des régressions jusqu’à pouvoir ancrer des nouveaux modes de fonctionnement individuels et collectifs.
Par la suite, il est nécessaire de superviser l’équipe, notamment lors de changements de personnes ou de projets.
L’intervention institutionnelle requiert, à mon avis, une double compétence ; sociale et entrepreneuriale.
L’organisation d’une structure est complexe et je sens que mon parcours multiple me pousse à l’appréhender avec lucidité et humilité. Ce type d’intervention demande plusieurs compétences et plusieurs actions simultanées ; remaniement institutionnel, gestion de conflits, supervision d’équipe, conseils stratégiques, analyse des pratiques, réorientations professionnelles parfois, reconstruction, régénération, médiation et modération.
Ce qui me paraît important est de donner à voir, en début de processus, ce que peut devenir l’institution après le travail de supervision ; le travail de supervision institutionnelle demandant des remises en questions importantes et peu confortables parfois. Proposer des dispositifs et offrir des moyens méthodologiques, des règles adaptées aux besoins, analyser la mise en œuvre des actions et évaluer l’impact de l’intervention permet une visualisation, au fur et à mesure, de l’avancée des travaux.
La supervision peut se faire de façon différenciée suivant les différentes strates hiérarchiques de l’institution, avec des regroupements à certains moments clé de processus. Il est important aussi de communiquer l’état d’avancement à l’ensemble des acteurs-trices institutionnels afin que le processus d’intervention soit porté par tous. Il est important également de clarifier qui est le commanditaire afin que le travail soit effectif au sein de l’institution.
Les organisations publiques traversent des contradictions liées à des confusions managériales ; verticales, horizontales, participatives. Il convient donc de définir quel type de management convient le mieux à l’institution et construire des dynamiques de régulation sur mesure.
ADMED Pathologie
BIKINI TEST
BNP Paribas – France
Brasserie BFM SA
Café Pro
Celgene pharmaceutique
Centre éducatif de l’APAP – France
Centre éducatif de l’Oustal – France
Chabloz Optique
Chechen Civil Society Forum – Théchénie
CHUV – MISC
Collège Charles Fauqueux – France
Commune de Postiglione – Italie
Compáz c/o INOX Communication
Crèche Croque-Pomme
Crèche Ibanda
Crèche Les Colverts
Design etc
Ecole Dr. Pierre-Coullery
Emmaüs
EREN
Etat de Neuchâtel – Affaires culturelles
Etat de Neuchâtel – Office de l’enseignement spécialisé
Etat de Neuchâtel – Office des apprentissages
Etat de Neuchâtel – SIAM
Etude d’avocats Joseph Veuve
Evaleo – ONG santé durable
EvoLab – urbanisme citoyen
Festival des Six-Pompes
Festival Evidanse
Festival Territoires dansés – France Suisse
Fondation Les Perce-Neige
Fondation Verdeil
Foyer Handicap
Foyer La Croisée
Goodyear – France
Hoirie Dentan
Home La Sombaille
La BAF ! – école de musique
Le Palabrier
Les Couturiers du Temps
Lycée Blaise Cendrars
MA Fiducia
Mairie d’Amiens – France
Ministère de l’intérieur – France
MJSR Vaud
ONG Best-seller – Serbie
République et Canton du Jura – Service des infrastructures
République et Canton du Jura – Services sociaux régionaux
Résidence la Courtine
Sombaille jeunesse
Théâtre de Porrentruy
Ville de Paris